Célèbre par sa qualité et son parfum, le café nouvelle guinée est l’une des boissons les plus prisées dans le monde. La Nouvelle-Guinée en exporte en effet plus de 1% de la production mondiale. D’ailleurs, il est devenu l’une des plus grandes sources de devises étrangères de ce pays. En seulement quelques années, ce secteur a permis de créer 2,5 millions d’emplois au niveau professionnel et de plus, la production ne cesse d’augmenter.
Un secteur en pleine expansion
Ces dernières années, la Nouvelle-Guinée s’est imposée dans le marché mondial grâce à ses deux produits phares, notamment l’huile de palme et le café. En effet, c’est grâce à ces produits qu’il figure actuellement parmi les pays exportateurs agricoles les plus connus. On retrouve le café presque dans tous les pays. Les produits de ce pays sont facilement reconnaissables avec son label commercial « PNG ». Parmi les produits les plus connus, on peut par exemple citer les crus d’arabica du monde Sigri Estate. C’est un véritable mélange de goût et de saveur qui se situe entre les torréfactions mokas d’Éthiopie et ceux du Kenya. A savoir que la torréfaction de nouvelle guinée est caractérisée avant tout par son arôme floral et sa saveur authentique.
Les entreprises de renoms comme Sigri et Arona se sont implantées dans ce pays depuis plusieurs années. Cependant, les producteurs locaux continuent toujours à exploiter leurs parcelles de terre pour perpétuer la tradition. En effet, on retrouve encore les variétés traditionnelles d’arabica du pays comme le “Village Premium Morobe” localement. À savoir que la qualité de ce produit repose principalement sur le traitement. En fait, il est toujours cultivé par des femmes indigènes, récolté à la main et séché au soleil.
Une méthode de production naturelle
L’arôme varie en fonction du climat et de l’emplacement de la plantation. Toutefois, le procédé de fabrication est également essentiel pour garantir la qualité. Dans la ville de nouvelle guinée, il existe deux types de plantation. Les café nouvelle guinée sont tous produits par le procédé humide.
Toutefois, la majorité des plantes sont cultivées dans les Hautes-Terres orientales et occidentales. Ces produits sont destinés généralement pour la production de masse. En d’autres mots, ils sont exploités par des grands domaines pour l’exportation. De ce fait, ils sont traités spécialement.
En revanche, il y a aussi les produits que les petits agriculteurs cultivent sur leurs propres parcelles des terres. Ces derniers fournissent quant à eux les industries locales. À savoir que la plupart des temps, ils produisent des « produits biologiques ». En effet, ces produits sont tous brevetés et ils respectent les normes imposées en termes de qualité.
Ce secteur d’activité est encore très prometteur pour la nouvelle guinée. Toutefois, certains problèmes sont encore à résoudre comme la mauvaise qualité des infrastructures, le changement des cultures, la taille des parcelles cultivable… De plus, on constate dernièrement une baisse des prix sur le marché mondial.
À cet effet, il est essentiel de trouver une solution durable, car ces problèmes inquiètent les producteurs et à long terme, ceci peut entraîner une baisse de production.
Mathieu Garnier, 30 ans, est un passionné de café et un véritable connaisseur moderne. Développeur web, il consacre son temps libre à explorer les subtilités des cafés de spécialité et à perfectionner ses techniques de préparation. Amateur d’équipements modernes comme l’AeroPress ou les machines semi-automatiques, Mathieu considère chaque tasse comme une œuvre d’art. Toujours à la recherche de saveurs équilibrées et audacieuses, il privilégie les espressos avec des notes de chocolat noir et d’agrumes. Curieux et perfectionniste, il partage son amour pour le café à travers des discussions avec ses amis et des communautés en ligne, inspirant d’autres à découvrir cet univers fascinant.